Description
Pochette confectionnée à Reims, France, à partir d’un Obi vintage de Kyōto qui semble avoir été taillé dans la toile des Nymphéas de Claude Monet.
Au milieu du XIXe siècle, les estampes japonaises ukiyo-e sont arrivées en France, souvent comme papier d’emballage pour des céramiques. Ces estampes attirent l’attention de nombreux artistes et influencent leur art, cet engouement pour cette nouvelle esthétique s’appelle le japonisme.
Claude Monet présente lors d’une exposition à Paris en 1874 son tableau « Impression, Soleil Levant » qui inspire le nom du mouvement impressionniste.
En 1883, il s’installe à Giverny près de Paris où il crée un jardin d’eau avec des nymphéas et une passerelle japonaise, jardin qu’il peindra pendant 40 ans, démontrant sa familiarité avec les maîtres de l’ukiyo-e et leur monde flottant.
Le cycle des Nymphéas occupe une place particulière dans l’œuvre du maître : au lendemain de l’armistice de 1918, il offrit à la France huit de ces peintures monumentales comme symboles de paix, qui furent installées selon ses plans dans un espace unique de deux espaces elliptiques formant un huit au musée de l’Orangerie
en 1927, peu après sa mort.
Nos pochettes Nymphéas constituent une série limitée de huit exemplaires numérotés.
Cette pochette peut être portée à la main ou dans un sac grâce à sa chaîne amovible, qui s’attache à l’intérieur. Une poche intérieure permet de ranger son téléphone portable. Intérieur en soie gris foncé. Chaîne dorée.
Cette pochette est livrée dans un coffret en bois de paulownia. Ce bois est traditionnellement utilisé au Japon pour ranger les obis et les kimonos.